La nuit dans ma villa, à Haroura, Temara, Maroc, vers 4h du matin j’entends les coqs qui se réveillent, et parfois, mais assez souvent les chats qui font l’amour. Après les protestations d’usage de la femelle, sous forme de miaulements violents, c’est le silence. Je devine que l’acte progresse et tout d’un coup c’est le chant de l’amour bestial; il s’élève alors dans le silence nocturne du quartier, non plus un seul miaulement mais plutôt un double chant engagé. La chatte chante, avec des accents modulés. C’est à la fois violent et l’on peut compatir à la douleur de la femelle pénétrée, mais elle, souffre-t-elle vraiment? Et puis n’est-ce pas finalement son chant qui se mêle à celui de son homme. L’extase, car manifestement ni l’un ni l’autre ne peuvent s’empêcher de chanter cette mélodie d’amour. Et si l’on peut les voir, on notera que le chat saisi la nuque de sa chatte pendant qu’il conclue sa petite affaire.
Le dernier geste du coq, je le pratique le plus souvent moi aussi, saisissant ma cavalière par sa crinière, collant ma bouche à la sienne, ma langue autour de la sienne.
Alors qu’elle a pris une position adéquate à la mienne, me regardant face à face, et accroupie sur ces deux jambes, elle monte et descend le long de mon job, puis elle ralenti peu à peu son rythme, elle s’attarde, et musarde un peu sur le haut, autour de cela base du gland. Et tout d’un coup je prends, par la parole, la direction des opérations. “Oui, Hajiba? arrête là, arrête s’il te plait. Voilà maintenant monte une peu, voilà, redescend doucement voilà, allez remonte doucementt, voilà! oui voilà! “ Et je ressens une telle jouissance que je me met à crier. Ce n’est pas le cri de l’homme qui se libère par l’éjaculation. C’est le contraire. Je ne lâche rien: plus haut, plus bas, voilà et je crie sans pourvoir m’en empêcher. Pas un cri de souffrance, un veulement, comme le chat, de jouissance. Le jeu consiste alors, pour le plaisir mutuel, car Hajiba attentive, ne s’ennuie pas non plus, nous prolongeons l’exercice, et mon chant d’amour se poursuit, réveillant je l’espère tout le voisinage, puis ça dur, ça dure, c’est bon, et enfin l’issue fatale, inévitable, arrive avec son supplément de plaisir, quand je me libère. Et Hajiba, un peu femme fontaine se libère aussi. Dernière sensation jouissive ressentie, l’écoulement chaud de nos liquides d’amour autour de mon phalus.
Alors si vous ne connaissez pas ça, ce plaisir qui vaut dix fois celui de l’éjac, faites avec votre compagne comme moi et Hajiba? Vous verrez c’est carrément génial.
Et si vous n’y arrivez pas, téléphonez à Hajiba, elle vous conseillera (gratuitement)! lol !
En visionnant cette video, je n’apprends rien de nouveau:
C’est une symphonie: A BB dominante au début, de jouer l’introduction (la mise en bouche..), puis le refrain (sur le chanfrein), et puis, à moi de planter le décor, et de prendre la direction de l’opéra sion:
« PLUS HAUT, PLUS BAS, ENCORE UN PEU…etc », toujours la même chanson, comme quelques années plus tôt au Cameroun.
Et enfin pour moi, la sensation sensationnelle, au point G masculin, le gémissement incontrôlable, et reproductible à l’envie: c’est le sommet de la jouissance, Koura prolonge sa présence en G, me faisant plonger et replonger, ….puis elle me pilote avec plaisir et bonheur vers la dispersion de mes gènes sur son propre G… et vient pour elle la divine vidange.